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Comprendre le vécu douloureux de l'enfant pour mieux soigner l'adulte
Doriane Delecour, kinésithérapeute au service de brûlologie du centre Romans Ferrari.
Véronique Vigne-Lepage
Kiné actualité n° 1597 - 11/11/2021
Une équipe de recherche du CHU de Saint-Étienne a fait passer des IRM à des personnes ayant toutes souffert, enfants, des soins liés à une brûlure. Résultat : si elles ne revivent pas la douleur physique, la réminiscence de son souvenir active des zones cérébrales liées au corps. Ce qui peut induire chez elles des comportements de rejet que les masseurs-kinésithérapeutes, par exemple, pourraient mieux comprendre grâce à cette étude.
